Je poursuis, mais je m’aperçois que je me lasse un peu. C’est effectivement sa manière de regarder, ce qui veut dire que la toile proprement dite est de plus en plus délaissée pour laisser la place à une dérive littéraire et, peut-être dans son esprit, poétique. Je pense parfois à Quignard. Je m’attendais à quelque chose de plus technique. Je ne sais pas regarder, c’est-à-dire considérer le détail. Il faut m’aider. C’est le doigt posé sur ce détail-là qui m’intéressait, et je pense à l’étude de Todorov sur le domestique flamand du XVIIe siècle (j’ai oublié le titre) qui en reste à l’analytique visuel. Il n’empêche qu’il y a ici encore de quoi me satisfaire. À noter l’hideur totale des pages dites « repères » au fond de couleurs soutenues, illisibles et inesthétiques...

 

24 mars 2008