C’était la nuit lorsque j’ai déposé Mercedes à son garage. Je suis aussitôt monté, pensais lire le journal au lit et faire quelques sudokus. Sur le second bureau où je les avais posés avec ma dernière cigarette, se trouvait également Cette histoire-là à l’intention de Didier (il était difficile de ne pas le lui proposer en lecture comme suite ou complément au texte qu’il m’a demandé de lui écrire pour son exposition). J’espère que c’est bien traduit...
17 janvier 2008