Après le repas, j’en ai entamé la deuxième partie, « Memoriale di caporetto ». Ultimo est à la guerre, la Prima. Pages étonnantes et palpitantes, pas moins, que mon maudit manque de vocabulaire m’a obligé à lâcher à plusieurs reprises pour attraper le dictionnaire. (Cette histoire-là est en tête de gondole au Furet ; best-seller ou sur le point de l’être – et alors ?...)

 

10 décembre 2007