Je saisis directement, il faut que je rapporte vite la bonne nouvelle : j’ai retrouvé la dernière lettre de David et les poèmes. Il me semblait inconcevable de les avoir perdus, ou égarés, ou simplement de ne pas en avoir gardé une trace. Puisqu’ils ne figurent pas dans la mémoire de l’ordinateur, c’est que je les avais imprimés. Mais pour où les mettre ? J’ai regardé dans l’exemplaire même, ils n’y sont pas ; alors, restaient les archives. J’ai ouvert le fichier B où le nom de Boyer apparaît à la cote TRA2670. Je suis allé chercher le dossier en question : la lettre et les poèmes y sont. Il ne me reste plus qu’à les faire entrer dans le site… (Par contre, je n’ai pas imprimé toute la correspondance ; seule la dernière lettre avec les poèmes subsiste ; j’ai bien peur que le reste soit définitivement et irrémédiablement perdu…) (Mais non, ça doit être quelque part...)

 

11 mars 2013