Décidément pas de chance car sa lecture a été largement distraite par la traduction de Tuning. Mais du moins je l’ai achevé, sans pourtant que je puisse en tirer quelque chose de véritablement consistant. À la première lecture, j’avais dit que c’était « chiant » ; aujourd’hui, je l’ai mené à son terme, avec un certain plaisir, mais sans y voir le titre de chef d’œuvre qu’on lui accorde généralement et en entrevoyant seulement son rôle dans la création du roman moderne à venir. Je préfère me diriger du côté de Bouvard...