Vacances vénitiennes. « Et si nous allions à Padoue ? » m’a demandé Éléonore il y a une demi-heure. « Too late », ai-je dit. Le soleil inonde la cour, elle y lit en se faisant bronzer les jambes, j’écris dans le séjour, en yukata, je viens de prendre une douche. Too late. Il fait très beau et il est un peu dommage de rester ici, dans l’appartement ; en même temps, il est bon de rester ici, dans l’appartement… Après avoir achevé la saisie des notes d’hier, je poursuis Mr Gwyn (étrange histoire de nouveau qui, dans son étrangeté, me fait penser au circuit automobile de Questa storia). Paresse. C’est terrible, quand on y pense ; mais beau, aussi...
1er avril 2015