p. 108 :
« Cette abolition des
limites qui nous laissait l'un en l'autre perdus me paraissait plus profonde
que les sermons du prêtre à la chapelle de l'église, me paraissait plus sainte.
»
Puis :
« [...] j'aime les fesses de
Hensi, j'aime aussi que Dieu les maudisse ; je ris, dans ma nausée, de
cette malédiction, qui les divinise si profondément. »
J'étais sur le point
d'ajouter :
« J'aime l'idée
que Dieu les maudisse. »
Mais je crois que c'est un
mécréant qui aurait ajouté cette « idée ».
p. 109 :
succomber
« à la puissance de la
malédiction, à la puissance du malheur. »
Tout cela n'est-il pas un
peu trop démonstratif, explicatif ; facile ?