La nuit dernière, au lit, j’ai pris ma dose journalière de Pepys, repris Brodsky à l’endroit où je l’avais laissé il y a quelque temps. Je me prépare (pourquoi je ne vais pas plus souvent à Venise, pourquoi je repousse sans cesse alors qu’aussitôt la décision prise, je n’ai plus qu’une hâte, y être – et non y aller, mais y être – téléportez-moi)...

 

4 juin 2013