Je travaille à Venise, le calendrier (j’y suis allé seize fois – l’amie de Samuel nous avait posé la question à table, j’avais dit vingt fois), vérification des notes, saisie des dernières, mise à jour du fichier VENEZIA (j’avais oublié son existence). Avec ma première cigarette ce matin, j’ai poursuivi Berendt qui fraye toujours avec le beau linge « expatrié » de Venise qui se prélasse dans les palaces (et spécule, par la même occasion) tandis que la ville autour d’eux agonise, bouffée petit à petit par les touristes (mais aussi par eux, s’en rendent-ils compte ?)...

 

6 avril 2015

 

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