Au lit, j’ai poursuivi Berendt (je pense que c’est la première fois que je lis dans mon lit depuis la cruralgie – qui, du reste, va bientôt fêter son premier anniversaire). J’en suis à l’histoire des Rylands (principalement Jane) qui tentent d’escroquer Olga Rudge, la veuve de Pound ; c’est assez édifiant ; quelle bande de minables. « They are crooks », m’avait simplement dit Éléonore, avant d’ajouter qu’elle était stupéfaite que Berendt dévoile cette affaire si ouvertement. Moi aussi, mais il précise que toute la haute vénitienne était au courant...
8 avril 2015