128 « Or… » paragraphe
« Or il est d’autant plus étonnant que le paradigme proustien se soit imposé qu’il modifie complètement notre rapport à la lecture en acceptant trois défauts majeurs qui auraient été rédhibitoires à d’autres périodes de l’histoire littéraire, l’ont été à la réception de Proust en freinant son ascension dans le canon et peuvent tout à fait le redevenir demain si un nouveau paradigme s’impose. » Je ne comprends pas (on dirait une phrase proustienne, justement, l’a-t-il fait exprès ?)… Qui quoi accepte ? Le paradigme ? L’ont été ? Rédhibitoires ?...
130 Valéry. C’est vrai…
« […] Valéry n’est pas infondé à dire que la force de La Recherche tient à ce qu’il est possible de l’ouvrir à n’importe quelle page. » Je le fais souvent…
Flaubert, voir ma note 107
« Si l’on reprend l’Histoire à rebours, on peut penser qu’un auteur a une dette importante vis-à-vis de Proust, à savoir Flaubert, au point qu’il ne serait pas exagéré de dire qu’il est – en tout cas tel que nous le lisons – influencé par lui. » C’est lui-même, je pense, qui en a déjà parlé dans l’un de ses autres livres…) (Pas dans Le hors-sujet, je viens de vérifier. Où, alors ?...)