Ce matin, j’ai lu quelques pages de Pepys avant de reprendre Edda H. Les deux premiers chapitres étaient plutôt prometteurs (un « entretien » entre elle et un admirateur), mais à partir du troisième démarre un soliloque, celui d’Edda ; il m’a ennuyé, je ne l’ai pas achevé. Figure une deuxième seconde « partie », un second texte d’une trentaine de pages mettant en scène Tosca et Edda qui assiste au succès d’une plus jeune et plus « performante » qu’elle. Pas mal (mais c’est peut-être parce que je connais bien et aime Tosca). Apparemment, Baptiste-Marrey est un spécialiste, ou pour le moins un amoureux de l’opéra…

 

4 avril 2020