Lever ce matin le nez dans la neige. Je me suis préparé, suis monté dans ma voiture. Je n’avais pas passé le premier fou rouge que la voiture s’est déportée sur la gauche, a patiné tant est plus que j’ai décidé de rebrousser chemin et de passer la journée calfeutré à la maison. Coup de fil à Gilles : « Neige, verglas, peux pas venir. » « Pas de problème, à lundi. » Je me suis changé et ai attaqué « Zone of terror », nouvelle suivante, sans grand enthousiasme. Guère de souvenir de ce texte, comme je m’y attendais. Feuillet du projet…

 

31 janvier 2003

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