Nous avons de nouveau mangé chez Adolpha, deuxième du genre. Je n’étais pas bien depuis le matin, j’ai envoyé un courrier à Mia pour lui dire que j’étais souffrant et ne viendrais pas. Elle m’a appelé dix minutes plus tard, décomposée et presque en pleurs : seul le grand Guy avait répondu à l’invitation, ils ne seraient que trois, elle avait imprimé des livres pour nous les remettre et il y avait de la nourriture pour dix. J’ai fini par lui promettre de passer ; Éléonore s’est proposé de m’accompagner. Finalement, nous étions une bonne huitaine autour de la table de la pièce enfumée. J’avais dit à Mia que je ne me sentais pas d’humeur à manger, j’en ai évidemment repris deux fois, d’autant que c’était excellent. Mia nous a remis une nouvelle maquette du livre qui se concrétise petit à petit.

 

19 février 2012