Nous avons eu une nouvelle réunion chez Léo, Mia, le grand Guy et moi, pour discuter de la mise en forme du texte, comparer nos commentaires et nos points de vue suite à la lecture de la dernière version et surtout répondre à la question suivante : jusqu’où faut-il laisser le texte brut et comment lui donner une certaine lisibilité sans trahir l’écriture et l’esprit d’origine ? Mia avait déjà bien entamé la réécriture, subtile et intelligente, au point que j’ai cru qu’il s’agissait encore de l’original. Elle s’est demandé s’il ne serait pas judicieux de proposer en plus de la version remaniée, l’original en fac-similé. 

 

27 février 2012