Le fait que l’auteur soit un homme me fait
constamment oublier que le narrateur est une narratrice...

 

77, 78 contradiction quant à son choix de traduction

Elle connaît trois langues : l’arabe, l’anglais et le français et traduit dans sa langue natale, l’arabe. Elle se refuse de traduire les textes d’auteurs anglais et français et, pour les autres langues, passe donc par leur traduction en français ou en anglais. Cependant, elle dit : « […] je ne peux pas non plus travailler sur Ismail Kadare, car les versions anglaises ont été traduites à partir du français, et non pas de l’albanais originel. » Oui, mais les traductions françaises l’ont été de l’albanais… J’en profite pour corriger un peu le texte : « travailler à », « traduites du français » et « pas de l’albanais »...

 

95 dessins animés populaires ?

« […] les yeux du pauvre homme jaillissent de leurs orbites, comme dans les
dessins animés populaires. » Qu’est-ce qu’un dessin animé non populaire ?...

 

116 la perte du mystère

L’excès d’explications (psychologie) dans les
romans qui aboutissent à « la perte du mystère ». Oui...

 

126 Proust

« Proust ne lisait que le français et, avant d’écrire son chef d’œuvre, il traduisit John Ruskin […]. » C’est sa mère qui les a traduits. Et je dirais : « avait traduit ». Je souligne l’emploi du passé simple, complètement décalé dans une bouche qui s’exprime à la première personne.

...