Notes :
35 CHET’S ROMANCE
« Le 25 novembre 1986 à Paris le cinéaste français Bertrand Fèvre a filmé Chet Baker, dans un noir et blanc somptueux, beau comme une catastrophe. […] Le court métrage dure neuf minutes et demie, et s’intitule Chet’s romance. C’est l’un des plus beaux films musicaux de tous les temps. » Je n’ai plus qu’à aller le chercher…
39 l’eau//Huxley (page 13)
Avant l’eau courante, à Paris : « Il fallait donc aller s’en procurer dans les rares fontaines publiques gratuites ; ou bien la puiser dans la Seine ; ou encore l’acheter […] ; en conséquence de quoi il se buvait au XVIIIe siècle trois fois plus de vin qu’aujourd’hui ! » (On s’éloigne un peu de la douceur – ou bien : ah que douce est l’eau courante…)
40 (« grâce/ou à cause de), voir Doriane
« […] c’est en grande partie grâce à (ou à cause de) cette puissance conceptuelle. »
Cela me renvoie à la discussion que j’avais eue avec Doriane au sujet du sens négatif donné généralement à la locution « à cause de ». Pour elle, ça n’avait qu’un sens positif ; j’avais été d’accord avec elle, mais l’usage fait qu’elle a pris un sens négatif que l’on oppose généralement à « grâce » : « c’est à cause de toi que je suis tombé » ; « c’est grâce à toi que j’ai pu me relever ». Mais si je dis : « c’est à cause de toi j’ai pu me relever » ?