Il fait beau, il fait chaud. Je viens de passer une heure au jardin avec La Grotte qui me laisse toujours insatisfait ; que je n’aime pas. Le procédé des personnages qui prennent la pièce en mains avec l’intervention de l’auteur ou non me semble terriblement daté (je pense à l’instant à l’une de mes toutes premières nouvelles dont c’était le thème), et Anouilh se débrouille assez mal. La fin, à ce titre, est exemplaire. Comme un fait exprès, le voisin a mis son compresseur en marche alors que je l’achevais (ça n’a duré que trente secondes, mais ça va recommencer – qu’est-ce que je disais)…
8 juin 2013