Jacques intervient et envoie à Francko
%moment où ses doigts se déploieraient pour aller agripper cette chair offerte, ou pour le moins qu’il pensait être offerte, ou qu’il pensait être en droit de s’offrir, ce que d'aucuns appellent liberté quand ils veulent déguiser un rapport de pouvoir d'une peau de sauciflard. Nom de DJe n’ai pu alors faire autrement que de faire le lien avec l’autre homme que, nom de dje, je venais de quitter et avec lequel celui-ci n’était pas sans affinités, voire sans similitudes si, nom de djje, je considérais la manière dont il l’auscultait, dont il avait le corps déjà prêt à s’épancher, dont ses poings s’ouvraient et se refermaient. Au lieu – crénom de nœud –de me distraire de – crénom de nom – mon histoire que, nom de dja, j’avais voulu fuir, nom de djé j’ai replongé et pensé à ce que disait ce type : « nom de dje, je suis le maître de la parole ! » En d’autres termes, il suffisait qu’il ouvre la bouche pour que tout lui tombe dedans, et en particulier les filles et les dames dont il n’avait dès lors plus qu’à faire une bouchée, d'ailleurs on devrait penser, et même dire, que l’expression « faire une bouchée » ne pouvait être plus appropriée. Et puis quoi encore ? crénom de nœud, me suis-je exclamé ! Qu’est-ce que cela voulait dire ? Pour qui ou quoi se prenait-il ? Et comme sous l’effet d’une espèce de charme épistémique, c’est de nouveau l’autre que, nom de djé, j’ai vu en face de – crénom de quoi – moi qui, profitant d’un souffle particulier et ravageur parcourant immeubles et édifices à travers la grande ville, était parvenu à se glisser sous la chemise de celui-là pour en épouser l’aspect, la forme, la physionomie et l’anatomie, et se rappeler à – crénom de quoi – moi. Nom d'un songe songeais-je, teigneux, déjà affligé de polluer ma pensée et mes mots d'interjection qui – crénom de noeud – me venaient malgré – crénom de quoi – moi, que le jour où il cesserait définitivement d’entraver – crénom de nom – mon chemin n’était pas pour demain, ni même après-demain, et peut-être qu’il n’arriverait jamais. De teigneux, nom de dje je devins colérique et % vindicatif, et c’est alors qu’il – cré de mé – m’est venu à l’esprit que c’était peut-être à – crénom de quoi – moi de le décider, et qu’il pouvait suffire que, nom de dje, je le décide et que, nom de dje, je me dise : « ce moment doit arriver » pour qu’effectivement, nom de djan, j’en sois débarrassé. Alors, c’est ce que, nom de djé, j’ai fait ; nom de dje, je l’ai pensé très fort et ai murmuré : « ce moment doit arriver ». Et, devant – cré de mé – mes yeux éberlués, ce moment est arrivé. Mais il n’est pas arrivé comme, nom de dje, je l’attendais et au moment où, nom de dje, je l’attendais. Il y a eu d’abord l’autre homme. Vous souvenez-vous de l’autre homme ? Comment l'oublier ? Celui-l, nom de dje, je l'appelle « non... » parce qu'il retient les sons « », les occulte et les empêche d'exister dans l converstion, au point de rester quelque fois bouche bée comme un bruti vant de prvenir sauter ce son. Ç rend l converstion pénible. Lui – crénom de noeud – me reproche, et au monde entier, le défaut qu'ont ses environs de précéder le son « je » de l'expression « nom de dje », le son « mon » de « crénom de nom », le son « me » de crénom de nœud », et ainsi de suite dès qu'il pproche des environs. C'est ainsi que s'il vient, nom de dje je n'ai pas le choix, nom de dje je deviens myzaute. Alors myzaute, devant ce type insupportble, dej rendu teigneux, colérique et vindictif par l'autre, le belltre, soi disant maître de l prole, myzaut s'est trouvé dépité au moment où c'est rrivé. Cr le maître de l prole voulu dire : mais aucun son n'est sorti. Ce n'était pas comme myzaut l'avait souhaité prceque myzaut n'en était ps débrssé, mais son bec était cloué, c'était bien fait. Du coup, l'autre homme est remonté un tantinet dans l'estime de myzaut. Non pour longtemps ! C momnt précis fut clui qui vit vnir l sul êtr au mond qu j'aurais souhaité n ps voir, celui qui mange ls « ». ;