Francko à Jacques
&vindicatif, et c’est alors qu’il – cré de mé – m’est venu à l’esprit que c’était peut-être à – crénom de quoi – moi de le décider, et qu’il pouvait suffire que, nom de dje, je le décide et que, nom de dje, je me dise : « ce moment doit arriver » pour qu’effectivement, nom de djan, j’en sois débarrassé. Alors, c’est ce que, nom de djé, j’ai fait ; nom de dje, je l’ai pensé très fort et ai murmuré : « ce moment doit arriver ». Et, devant – cré de mé – mes yeux éberlués, ce moment est arrivé. Mais il n’est pas arrivé comme, nom de dje, je l’attendais et au moment où, nom de dje, je l’attendais. Il y a eu d’abord l’autre homme. Et son étrange compagne. Nous fîmes un jour connaissance, c’est parce que, nom de dje, je ne parvenais pas à la quitter des yeux et qu’il est venu, crénom de nœud, me dire de laisser tomber. Qu’elle était avec lui et qu’elle était ici pour être tranquille, qu’ici, c’était un bar peinard, qu’on ne voulait pas d’histoire. Au fur et à mesure qu’il continuait, crénom de nœud, à me parler, à parler d’elle, d’elle et de lui, il modulait sensiblement le ton et, nom de dje, j’ai bien vu à la commissure de ses yeux à elle que ça commençait à l’amuser, qu’elle se trouvait soudainement devenue le centre d’intérêt, et que maintenant, ce n’était plus moi seul qui la fixait, mais toute la rangée des tabourets au comptoir. Même si elle n’a pas réellement répondu, crénom de nom, à mon sourire, nom de dje, je reste persuadé qu’elle, crénom de nœud, me remerciait inconsciemment de l’avoir sortie de la banalité de son état du moment, de son ennui aussi, nom de dje, je crois, car maintenant que nom de dje, j’y repense, elle n’avait pas l’air de franchement s’amuser. Elle assistait là à une sorte de joute théâtrale, bien que sous la forme d’un monologue, et également, alors qu’elle aurait pu prendre ça pour un délit de possession, il s’agissait bien de la part de l’homme, d’une déclaration publique qui lui était adressée et dont elle jouissait. Bon, nom de dje, & j’avais bien sûr assez vite détourné les yeux de cette femme pour les plonger, crénom de nom, dans mon Stout, mais l’homme m’avait rejoint pour s’asseoir à côté de moi. Presqu’aussitôt, elle nous a rejoint en emmenant son siège avec elle et lui a dit : « Arrête ! ». Puis, s’adressant à moi puis à lui : « Qu’est-ce que vous prenez ? C’est ma tournée. » Nous avions tous déjà un peu bu, mais pas trop, de sorte que le trio étonnant que nous formions maintenant semblait possible. N’osant plus la fixer trop souvent, crénom de nom, mon regard traînait du côté de ses jolies jambes croisées sur le tabouret et sans l’entendre, l’homme me berçait de ses paroles. Ah ! Vous souvenez-vous de l’autre homme ? Comment l'oublier ? Celui-l, nom de dje, je l'appelle « non... » parce qu'il retient les sons « », les occulte et les empêche d'exister dans l converstion, au point de rester quelque fois bouche bée comme un bruti vant de prvenir sauter ce son. Ç rend l converstion pénible. Lui – crénom de noeud – me reproche, et au monde entier, le défaut qu'ont ses environs de précéder le son « je » de l'expression « nom de dje », le son « mon » de « crénom de nom », le son « me » de crénom de nœud », et ainsi de suite dès qu'il pproche des environs. C'est ainsi que s'il vient, nom de dje je n'ai pas le choix, nom de dje je deviens myzaute. Alors myzaute, devant ce type insupportble, dej rendu teigneux, colérique et vindictif par l'autre, le belltre, soi disant maître de l prole, myzaut s'est trouvé dépité au moment où c'est rrivé. Cr le maître de l prole voulu dire : mais aucun son n'est sorti. Ce n'était pas comme myzaut l'avait souhaité prceque myzaut n'en était ps débrssé, mais son bec était cloué, c'était bien fait. Du coup, l'autre homme est remonté un tantinet dans l'estime de myzaut. Non pour longtemps ! C momnt précis fut clui qui vit vnir l sul êtr au mond qu j'aurais souhaité n ps voir, celui qui mange ls « ». ;