« On peut donc facilement imaginer aussi un ex-tamagochi : un tamagochi qui nous bombarderait d’ordres comme “ embrasse-moi ! Lèche-moi là ! Pénètre-moi ! ” et auxquels on répondrait en appuyant simplement sur le bon bouton, satisfaisant ainsi au devoir de jouir, alors même que, dans la “ vie réelle ”, on peut se reposer calmement et prendre un bon verre en solitaire. »