Le phénomène est de plus en plus fréquent : penser une chose à destination du journal (et déjà la rédiger mentalement) et être stupéfait de ne pas la retrouver rédigée quelque temps plus tard. C’est ce qui s’est produit avec Les prodiges de la vie dont j’ai encore les commentaires à l’esprit ; j’étais persuadé de les avoir rédigés et aujourd’hui ne les retrouve pas...

 

18 août 2008