Je poursuis Renoir. Dans la dernière partie, il parle de ses films, s’attarde sur La bête humaine, le qualifie de roman extraordinaire. Cela m’a donné l’envie d’y jeter un œil. Je l’ai trouvé dans la bibliothèque principale d’Éléonore, l’ai aussitôt entamé. C’est bien du XIXe : grosses ficelles, un peu lourd, vieillot, pas très bien fichu. Je ne suis pas sûr de continuer…
15 février 2018