
Je l’ai acheté à Bruxelles,
Éditions du Frêne, Bruxelles, 15 mars 1948, traduction d’Alzir Hella. Je l’avais
d’abord trouvé chez Pêle-Mêle, mis de côté avant de me décider, puis, mon
inintérêt pour Marie-Antoinette ayant été plus fort que mon intérêt pour Zweig,
proposé à Éléonore ; elle l’avait accepté. Le lendemain, chez Évasions, j’étais
tombé sur un autre exemplaire de la même édition, à cette différence près que la
page de garde portait un texte manuscrit. J’avais lu ce texte, et dès lors, je
n’avais pu faire autrement que d’emporter Marie-Antoinette (qui, peut-être,
était aussi le prénom de la chérie en question). Voici ce texte en
intégralité...
Il n’est pas signé...
2 avril 2001