« […] les autorités concédaient certaines rues au marché de l’amour ; comme au XXe siècle encore, dans le Yoshiwara, au Japon, ou comme au marché aux poissons du Caire, deux cents, cinq cents femmes étaient assises, porte après porte, l’une à côté de l’autre, et s’offraient à la vue aux fenêtres de leurs rez-de-chaussée – marchandise à bon marché travaillant en deux équipes, celle de jour et celle de nuit. »

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