Zweig rend visite à Freud alors à l’agonie : « Un jour […], j’amenai avec moi Salvador Dali […] qui vouait à Freud une admiration extraordinaire, et pendant que je parlais avec Freud il fit une esquisse. Je n’ai jamais eu le courage de la montrer à Freud, car Dali, avec sa clairvoyance, avait déjà figuré la mort à l’œuvre. » En effet, qui aurait pu s’en douter ?...