« Avant 1914, la terre avait appartenu à tous les hommes. Chacun allait où il
voulait et y demeurait aussi
longtemps qu’il lui plaisait. Il n’y avait point de
permissions, point d’autorisations […]. Pas de passeport. »
Et :
« Il n’y avait
pas de permis, pas de visas, pas de mesures tracassières, ces mêmes frontières
qui, avec leurs douaniers, leur police, leurs postes de gendarmerie, sont
transformées en un système d’obstacles ne représentaient rien que des lignes
symboliques qu’on traversait avec autant d’insouciance que le méridien de
Greenwich. »
Mais dans quel monde vivait-il ?...