« Au fond, toute cette orgie allemande qui éclata avec l’inflation n’était que fiévreuse singerie ; on voyait bien à leur mine que ces jeunes filles de bonnes familles bourgeoises auraient préféré porter de simples bandeaux plutôt que de se donner une tête d’homme aux cheveux bien plaqués, qu’elles auraient préféré manger à la petite cuiller une tarte aux pommes avec de la crème fouettée plutôt que de boire de violents alcools […]. En secret, elle [la nation] haïssait la république, non pas parce que celle-ci aurait étouffé cette licence effrénée, mais au contraire parce qu’elle tenait la bride d’une main trop lâche. » Mais, en vérité, ça ne me semble pas très clair...