Henri de son prénom ; Zweig lui consacre quatre pages et dit, sans que
je comprenne vraiment ce qu’il est, de qui il s’agit (c’est l’entre-deux-guerres) : « […] aucun Français, pas même ce capitaine Sadoul qui se rallia aux bolcheviks en Russie, n’était aussi craint et haï dans les cercles politiques et militaires de Paris que ce petit homme blond. » Il aurait été poète médiocre, fondateur de Demain « seule revue intellectuellement importante qui luttât contre la Première Guerre mondiale », qu’on voulut éliminer en l’accusant d’espionnage pour le compte de l’Allemagne, qui s’essouffla en Russie pour aboutir
à Paris où il meurt oublié