« Ils avaient pour la plupart un petit emploi de fonctionnaire qui ne leur demandait que peu de travail effectif ; la haute estime où l’on tenait la production intellectuelle en France, dans tous les rangs de la hiérarchie, avait conseillé depuis des années déjà cette sage méthode consistant à conférer de discrètes sinécures aux poètes et aux écrivains qui ne tiraient pas grand profit de leur travail […]. » Ah bon ? Ne s’est-il pas laissé abuser ? Encore que ça ne soit pas tout à fait faux, et pense à Proust qui a été bibliothécaire durant un temps (mais papa Proust ne ramonait pas les cheminées que je sache)...