Notes :

 

Zweig connaîtra la même mort que Kleist...

 

183 il manque la dernière ligne

« […] ces transpositions du rythme tragique s’érigent

dans/n’a plus qu’une chaleur artificielle. »

 

201 la toupie...

« Personne ne tourne, même négligemment, son regard vers lui, lorsque la toupie de ses pensées vibrant sur une pointe d’acier bondit pour la dernière fois magnifiquement et tombe enfin, épuisée, sur le sol, – “ mort qu’il est devant l’immortalité ”. » Il parle de Nietzsche...

 

236 « philalèthe »

« […] il rejette ce qu’il a acquis, et, pour cette raison, il vaudrait mieux
l’appeler un “ philalèthe ”, un fervent passionné de l’Aletheia, de la vérité […]. » Pas terrible…
...

retour