Éléonore est montée, j’ai lu quelques pages de Zweig, partie Hölderlin. Je n’ai toujours pas trouvé la réponse à la question de savoir pourquoi je m’attache à ce type de lecture (et je devrais dire : je m’accroche, car j’y sens quelque chose de forcé – en même temps, je suis pris par les mots et le souffle de l'écriture)…
14 février 2013