J’ai achevé Zafón et ne sais qu’en penser. L’intérêt n’a pas failli une seconde, encore que j’aie tiqué à la révélation du lien qui unit Julian et Pénélope, puis à la confrontation de Julian et Fumero digne d’un film d’action. C’est du ressort du mélo et j’ai bien peur que ça ne prédomine dans l’opinion que je peux avoir de ce texte (et ce n’est pas très bien écrit, et je ne pense pas que ça soit du fait de la traduction, d’autant qu’il s’agit de Maspero – il aligne tout de même quelques bourdes). À la réflexion, il ne m’en reste pas grand-chose si ce n’est le plaisir pur de la lecture (ou le plaisir de la lecture pure)… (Et la fin à rallonges, à l’états-unienne, m’a un peu agacé. Zafón a-t-il joué le jeu du roman d’aventures à la mode XIXe ?)
18 octobre 2019