J’ai dû me tromper de page, mais il s’agissait de la mention du témoignage d’un homme du peuple qui parlait un patois qu’il n’était pas possible de transcrire. J’ai toujours en tête les propos de Leroi-Gourhan qui relevait, lors de son long séjour au Japon, que d’un bout à l’autre de l’archipel, tout le monde parlait le même japonais et que les dialectes et patois étaient quasi inexistants. Cela m’avait laissé perplexe, voire sceptique. Je suppose qu'il n'y a pas de raison de douter de la parole d'un Japonais...