Dans The soul of a man
under socialism :
« In the old days men had the rack. Now they have the Press. That is an
improvement certainly. But still it is very bad, and wrong, and demoralising.
Somebody – was it Burke ? –
called journalism the fourth estate. That was true at the time, no
doubt. But at the present moment it really is the only estate. It has eaten up
the other three. The Lords Temporal say nothing, the Lords Spiritual have nothing to say, and the House of Commons has nothing to say
and says it. We are dominated by journalism. In
« Naguère, les hommes
avaient le supplice de la roue. Aujourd'hui, nous avons la Presse. C'est un
progrès, assurément. Mais pourtant c'est très mal, mauvais et démoralisant.
Quelqu'un – était-ce Burke ? – a qualifié le journalisme de
quatrième pouvoir. C'était vrai à ce moment-là, pas de doute. Mais de nos
jours, c'est véritablement le seul pouvoir, qui a dévoré les trois autres. Les
Lords laïques de la Chambre ne disent rien ; les Lords ecclésiastiques
n'ont rien à dire ; et la Chambre des communes n'a rien à dire et le dit.
Nous sommes dominés par le journalisme. En Amérique, le Président gouverne pour
quatre ans, tandis que le Journalisme règne pour l'éternité. »