J’ai entamé Wenders. Première partie, des textes, des chroniques, des articles de la fin des années soixante. Pour je ne sais quelle raison, je suis assez surpris ; agréablement. Déviation vers la musique, rock bien sûr, et principalement états-unien, je le savais déjà. Regard assez aigu. Ton du journal parfois, comme ce beau texte simple sur sa visite à Eddy Constantine qui pourrait être une nouvelle. C’est simple, et souvent très juste (voir ses réflexions pertinentes sur le rock filmé).
10 février 2004