
Dans la Série Noire. Williams est
l’un des « grands » du polar. Il a parfois mérité
cette appellation. Parfois non. Celui-ci, sans prétention, reste
dans les limites du bon, ni plus ni moins. Je continue simplement
pour savoir ce qui va se passer et comment le narrateur –
Williams écrit souvent à la première personne – va s'en sortir. C'est
tout. La traduction est bonne, c’est peu fréquent dans la Série Noire – si
j’excepte quelques passages où manifestement le traducteur n'a pas
compris ce que voulait dire l'auteur. Et moi non plus.
23 janvier 1990 (dans une lettre à Marcel)