Cela fait des mois que je n’ai pas lu de SF
proprement dite. Ce Watson (dont j’ai déjà lu deux romans qui quoique
bien m’ont paru en-dessous de leur réputation et de celle de leur auteur
– anglais d’une cinquantaine d’années, faisant partie de la
mouvance de la New SF anglaise de la fin des années soixante, tout comme
Ballard), je l’ai acheté en solde il y a quelques jours. Il est de 1975.
Je le connaissais de nom (très connu dans le milieu). À tout hasard, et en me
doutant que je ne le lirais pas avant des mois, je l’ai pris, au cas où
l’envie de relire ce type de textes me reprendrait. Finalement, ça a été
plus court, et j’avoue que je suis étonné et épaté, et me demande si je
n’ai pas injustement mis trop vite Watson de côté …