Je note que Torcello a été un marché de première importance ; note aussi le nom du doge Henri DANDOLO ; il me fait sourire, je l’accouple aussitôt à cette bribe de refrain que depuis des années je chante et fredonne, prélevé de je ne sais plus quel film et associe, presque comme un hymne, à l’Italie : « Guarda come dandolo ». Il me suggère aussitôt : « Guarda com’è Dandolo » – qui, à Venise, était : « Guarda come gondolo »… Je note aussi les nombreuses reproductions de toiles de Canaletto ; j’y pensais souvent à Venise (comment ne pas y penser : marcher dans Venise, c’est marcher dans ses toiles, en être un des personnages ?) en m’étonnant qu’il n’y ait pas le moindre musée à son nom

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