Je note que Torcello a été un marché de première
importance ; note aussi le nom du doge Henri
DANDOLO ;
il me fait sourire, je l’accouple aussitôt à cette bribe de refrain que depuis
des années je chante et fredonne, prélevé de je ne sais plus quel film et
associe, presque comme un hymne, à l’Italie : « Guarda come dandolo ». Il me
suggère aussitôt : « Guarda com’è Dandolo »