Linea UNO après l’osteria, marche dans les rues vides
jusqu’à San Stae. Éléonore désirait rester au-dehors, je l’ai
accompagnée jusqu’à Accademia où l’air du « large »
commence à se faire sentir. Je suis donc à l’intérieur en compagnie du
sachet en plastique rouge qui contient nos choses de la journée : livres,
friandises. J’en avais tiré Le Macchine… acheté à l’exposition et n’en avais pas lu
trois lignes que le calepin m’était venu à l’esprit…