Dans le Seacat, à l’aller, j’ai entamé Victorian architecture que j’avais acheté Charing Cross Road. Je pensais le destiner à Tashi, mais, après réflexion, j’ai préféré le conserver. L’architecture victorienne ne m’intéresse pas davantage qu’une autre. Mais pas moins non plus. Je ne sais ce que je compte y trouver, ce que je veux y trouver, ou simplement ce que je peux y trouver, peut-être la réponse à une vague question que je me pose sur la manière dont se fait l’architecture et sur le rapport qu’elle entretient avec le monde. Le ton des premières pages m’a incité à continuer…

 

18 mars 2002