« The tragedy of that divided Victorian society was twofold. First,
its dual nature kept it forever from the highest peaks of achievement. The
golden ages of Partheneons or Ravennas
had not only long since passed from the world; they were also inconsistent with
this combination of railway booms and earnest romanticism. Second, it was
tragic because, with the best intentions, it could never itself quite make out
what had gone wrong. The age was fascinated by ist own mines, pumps, bridges and tunnels. It had no
doubts about either their magic or their novelty, but it also felt some curious
moral duty to regard them only as a source of useful wealth whereby something
quite different could be encouraged – the “Fines Arts”,
meaning sometimes the worst sculpture, painting and architecture ever
known. »
« La tragédie de
cette société victorienne divisée était double. La première est que sa nature
duelle l’a écartée à jamais des plus hauts sommets de
l’accomplissement. L’âge d’or du Parthénon ou de Ravenne non
seulement appartenait aux limbes du temps, mais en outre était incompatible
avec l’association du développement du chemin de fer et de la ferveur du
romantisme. La seconde est que, avec les meilleures intentions du monde, elle
n’a jamais pu tout à fait se sortir des erreurs commises. L’époque
était fascinée par ses propres mines, machines, ponts et tunnels. Elle
n’avait aucun doute quant à leur caractère magique et à leur nouveauté,
mais elle s’est aussi sentie quelque curieux devoir moral de ne les
considérer que comme une source de richesse utile au moyen de laquelle quelque
chose de tout à fait différent pouvait être encouragé ;
c’est-à-dire : les « Beaux-Arts »,
signifiant parfois le pis de la sculpture, de la peinture et de
l’architecture. »