Je suis à la page 92, marqué par le beau cliché que Bernard (et de Bernard) y a glissé. Je ne sais comment est Vautrin ailleurs, mais ici cela m’a tout l’air d’un rossignol. Bref, il se défoule, se laisse aller, s’amuse, délire ; joyeux fatras et chaos jubilatoire dans lesquels j’ai du mal à entrer. Je pense que je ne peux plus entrer dans ce type de débandade. Alors, je range. Il y aura peut-être d’autres moments…
18 mars 2008