J’étais assis dans le rocking-chair à lire le livre consacré à Venise lorsqu’elle s’est approchée pour le baiser de la nuit. Je me suis levé, nous nous sommes enlacés et embrassés. Elle a eu un très beau sourire avant que nous nous séparions. Mon comportement change, le sien aussi. Elle m’a demandé si j’allais l’accompagner aux puces d’Ham, après-demain. J’ai dit oui. « You don’t have to. » « I know, mais si je dis oui, c’est parce que ça me fait plaisir. » J’ai l’impression que je pourrais désormais la suivre au bout du monde, comme c’est curieux. Je me demande même si je n’irai pas avec elle à Trawel. Je ne l’ai jamais fait…
2 septembre 2014