J’ai terminé Venise et ne suis pas mécontent d’être allé jusqu’au bout. À un moment donné, j’ai sauté quelques pages, puis, à l’approche de la période contemporaine, l’intérêt est revenu (ou plutôt « venu » puisqu’il avait été un peu absent jusqu’alors)… Pour le reste, « descente » en ville, Flint, Doc’Éthique pour déposer LNV VIII (j’ai entamé le IX), « le » cordonnier – il semblerait, depuis la fermeture de celui de la place Navarin, qu’il n’y ait plus que celui-ci. Chez Doc’Éthique, c’est le père qui a pris livraison (« encore là ? » ai-je dit avec un sourire, « oui, mais en général, c’est pour prendre le café »), je lui ai demandé ce qu’il en était : il ne connaît que celui-là (« derrière la poste », ai-je dit, « ah oui, sur la place où se garaient les bus » ; j’ai immédiatement pensé à l’une des scènes finales de Muriel lorsqu’Alphonse court pour s’engouffrer dans un bus ; mais il n’y a que des immeubles d’après-guerre à cet endroit et les devantures qui apparaissent dans cette scène sont antérieures et ont donc échappé aux bombes – à moins que l’ensemble n’ait été rasé)…