L’un des livres qu’Éléonore a vendu est introuvable, je suis allé chez Emmaüs, je ne l’ai pas trouvé. J’en suis revenu avec une vingtaine de livres dont, pour moi, un curieux Venise, livre d’art+CD. Il est là, à ma gauche. Sa facture est plutôt ordinaire. Je me demande ce que contient le CD… J’ai imprimé le 17 septembre, l’ai lu, corrigé ; puis livres (pas mal de ventes), repas, télé, un documentaire consacré aux deux Corée (j’ai cherché en vain à revoir un documentaire sur Lénine que le coup de fil d’Éléonore a interrompu ; il est dans le programme, mais pas dans la liste de rediffusion ; ça m’a agacé ; à la place, j’ai regardé un documentaire au sujet des rapports entre Français et RDA jusqu’au moment où je me suis aperçu que je l’avais déjà vu – c’est l’histoire d’amour entre Corinne et Detlef/Didier qui me l’a rappelé ; j’ai malgré tout regardé jusqu’au bout) ; mes yeux se fermaient, étrange. Mes lombes vont de nouveau bien. Aujourd’hui, il va faire chaud…