Lu dans la journée.Impression de lire deux de ses précédents livres à la fois : Dimanches d'août et La Ronde de nuit.
Impression d'une répétition, d'un plat réchauffé, sentiment qu'il arrive au bout : c'est toujours le même Modiano, identique, mais cette fois sans le charme, sans le trouble, sans l'envoûtement, j'ai peur qu'il ne dégringole. J'espère que je vais réussir à résister à l'achat du dernier, Figures de ruines, qui, bizarrement, n'était pas encore en rayon...

12 avril 1991