C'est-à-dire lorsqu'il pose la question d'un hôpital
susceptible de le recevoir : Montevergues, où les malades
travaillent dans des terres, puis : « n'y a-t-il pas
chez nous » (aux Pays-Bas) « des
établissements où l'on travaille aussi et où c'est pas
cher [...] », ce qui mène à la page 540 : « Je
me dis que chez nous en Hollande on estime toujours plus ou moins
la peinture, qu'on ne ferait guère de difficulté dans un
établissement de m'en laisser faire. »
Pourquoi en asile empêche-t-on de peindre ?
(ou ai-je loupé quelque chose ?...)