Après l’emballage des livres de la journée, j’ai repris le parallèle vénitien. Ironie, ils sont tous deux à Torcello. J’ai lu quelques pages de l’un, quelques pages de l’autre avant de refermer les deux. C’est agaçant. Ce n’est pas tant l’histoire (la part historique) en soi qui me gêne que la manière dont c’est rapporté, écrit ; n’importe quel guide ou livre d’histoire bien fichus parviennent au même résultat. Où est l’intérêt de tels livres un peu bâtards qui vont de l’un à l’autre sans que le « mélange » prenne ?...

 

9 novembre 2015

 

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