Je n’en ai rien dit, il me semble. Uno Chiyo. Je l’ai survolé plus que lu ; j’avais sans doute la tête ailleurs car ce n’est pas inintéressant pour son caractère d’immoralité (voire d’amoralité). (Je découvre la postface, à l’instant – je ne l’avais pas remarquée –, et découvre par la même occasion qu’Uno Chiyo est une femme alors que le narrateur est un homme ; il serait peut-être intéressant de relire le tout avec cette donnée à l’esprit – mais qu’est-ce que cela vaudrait, d’autant que l’auteur de la postface précise qu’elle a utilisé « deux “ parlers différents ”, celui de la région de son enfance, et celui de la “ province d’Awa ” […]. » C’était évidemment impossible à rendre en français…)

 

19 octobre 2018